Chacun prendra l’information à sa guise : soit Internet Explorer vient de passer sous la barre des 60% de parts de marché dans le monde, soit 60% des internautes sur Terre utilisent encore Internet Explorer, qui tient donc toujours la dragée haute à une concurrence accrue.
A qui profite la baisse d’Internet Explorer ? A peu près tous ses concurrents. Firefox semble avoir repris le chemin d’une hausse modeste après une chute modérée, et frôle les niveaux qu’il connaissait en fin d’année dernière avec 24,59%. Safari, à la quatrième place derrière Google Chrome, poursuit sa croissance : le navigateur a enregistré une hausse modeste de 0,08% sur un mois, mais l’accumulation de ces performances lui a valu un accroissement global de 1,19% en un an, passant de 3,53% en avril 2009 à 4,72% le mois dernier.
Mais c’est à Google Chrome que profite le plus la baisse du navigateur de Microsoft. Avec 0,6% supplémentaire sur un mois, le butineur de Google gagne près de 5 points en un an, passant de 1,79% à 6,73%. Aucune conclusion à en tirer sur le long terme, tant Chrome est encore jeune. Le navigateur a d’ailleurs bénéficié en décembre 2009 de l’arrivée des versions Linux et Mac, qui n’a pas bousculé sa croissance.
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